Lamarchande de bonbons.
Hélas vous n'aurez pas de photo de la marchande de bonbon cette boutique si chère à nos coeurs à disparue elle a été remplacée par une vulgaire ste assurance ou je ne quoi elle faisait pourtant partie intégrante de l'école tout les jours ou presque nous entrions dans la boutique pour acheter ou pour accompagner un copain qui allait acheter des bonbons.
Elle se situait à l'angle de la rue en face de la place (à peu-près en bas et à gauche sur la photo précédente) elle était tenue par deux femmes la mère et la fille c'est dans cette boutique que disparaissait l'argent de poche que nous donnait notre mère avant de partir ou celui resquillé sur la monnaie des commissions.
Là, suivant la somme souvent très minime c'était, comme chante Renau, des mistrals, des boites de coco, des réglisses ou tout simplement des bonbons.
Les deux femmes étaient très organisées, pendant que l'une servait, l'autre surveillait nos allées et venues, notre malin plaisir était quelques fois pas systématiquement, de faucher ne serai-ce qu'un bonbon et savourer le moment ou l'oeil de ce vigile en jupon avait quitté un instant cette bande de délinquant en herbe, ce qui nous permettait de déguster avec triomphe notre larcin.