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les copains de l'école des mûriers

10 juillet 2011

Pancarte N°3

panneau_1Courage allez vous n'allez pas craquer maintenant, ne perdez pas patience vous êtes sur la bonne route, direction sembleçay c'est bon.

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10 juillet 2011

Pancarte N°2

panneau_2Nous approchons du but

10 juillet 2011

Samedi matin les pancartes.

DSC01091C'est vrai quant on y songe il fallait être fort pour trouver la maison de pierrot. Un peu malmené les copains des mûriers mais toujours présent.

10 juillet 2011

Le samedi matin.

photos_copains_d__cole_13__14__15_juin_2008_009Le samedi matin nous sommes allez chercher le pain, sur le chemin du retour nous avons attaché à chaque point stratégique menant à son domicile, ce genre de panneau que pierre avait confectionné à l'avance. Cela n'a pas empêché (moi le premier) certains de se planter nous avons du aller les-chercher, car trouver parpeçay et à plus forte raison chez pierrot n'est pas évident.

10 juillet 2011

Vendredi soir les hommes.

DSCN4515De gauche droite à gauche rené Fortuné, jacky Cerf, jean-claude Eker et pierrot Fortuné en train de nous lire le menu pour les deux jours à venir. Menu du samedi soir, melon, jambon de bayonne, filet de poisson à la crème et sa julienne, salade duo, fromage.
Dimanche matin, entrée tomate concombre oeuf dur, plat grillade de boeuf patatos, salade, fromage, dessert glace vanille, fraise chantilly. Dimanche soir entrée salade de haricot vert, gésier et foie de volaille, plat au barbecue échine de porc au paprika, pâte au beurre, salade ,fromage, dessert tartes aux pommes

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10 juillet 2011

Le vendredi soir les Femmes.

DSCN4521la raison pour laquelle nous nous sommes retrouvés chez pierrot le vendredi soir, alors que les autres copains sont arrivés le samedi est la suivante.

Sylviane a subit une opération de la hanche lui laissant une paralysie (temporaire) du nerf sciatique, Pierrot a jugé préférable que l'on couche chez lui plutôt que d'aller à l'hôtel.

Quant à jean claude Eker et sa femme, un cas de force majeur les a obligé à partir de toulon (ils étaient en vacances à Yèrres) le vendredi matin à la place du samedi, ils ont mangés le soir avec nous et sont aller à l'hôtel en suite.

C'est ça le sens de l'hospitalité chez pierre quant il y en a pour six, y en a pour huit.

De gauche à droite, Monique la femme de rené Fortuné, Sylviane la femme de (votre serviteur) jacky Cerf, Yvette la femme de jean-claude Eker et Mireille la femme de pierre Fortuné.

10 juillet 2011

Les présentations.

photos_copains_d__cole_13__14__15_juin_2008_020J'ai mis cette photo en présentation parce que c'est la seule où nous sommes près que tous dessus elle a èté prise en contre jour j'ai fais la même elle est  encore plus mal réussie, je l'ai disposée en trois rangées, celle du fond à gauche où nous apercevons hélas mal, jeannine à coté son mari claude Levillain, Jean-charles Pizzanelli (dit jeannot) au fond dont nous n'apercevons que le haut du crâne jean-pierre Bourgeat, à l'avant dernier rang, jean-claude Legourd, à sa gauche nina de Crévisy, evelyne Pizzanelli devant son mari, Pierre Fortuné (dit pierrot) marcel Crévisy (dit crevette ou créviot), monique à coté son mari rené Fortuné frère de pierrot, au premier rang ma femme syviane et votre serviteur jacky Cerf (dit kiki), yvette à coté son mari jean-claude Eker. C'est la seule photo en ma possession où nous sommes presque au complet, et encore il manque MireilleMireille  qui prend la photo annie annie  jeanjean qui n'étaient pas encore arrivé

PS si quequ'un a une photo plus complète du groupe qu'il me l'envoie je la-changerais.

10 juillet 2011

L'Histoire des copains de mûriers.

photos_copains_d__cole_13__14__15_juin_2008_008Derrière nous la grange nous en parlerons plus loin, une dizaine de mètres à ma droite l'entrée où sont garées toutes les voitures, à ma gauche notre hôte Pierre Fortuné  sans qui c'est deux jours inoubliables n'auraient jamais eu lieu, entre nous deux la pancarte "les copains de l'école des mûriers" indiquant que nous sommes arrivés.
Si j'ai mis cette photo en premier c'est  parce que je trouve qu'elle résume parfaitement l'histoire qui suit.
Tout à commencé début 2006 lorsque numericable propose ses services internet haut débit et le téléphone illimité dans notre résidence.
L'idée de rechercher mes copains germait dans ma tête depuis plusieurs années déjà mais comment faire.
Le téléphone illimité était l'occasion ou jamais de pouvoir
les-rechercher et les-retrouver sans que cela me coute une fortune. Le premier que j'ai appelé fut jean-charles Pizzanelli j'étais persuadé qu'il n'avait pas bougé de saint Maur j'avoue qu'avant qu'il ne décroche j'avais une certaine appréhension.
Le courant est passé tout de suite il m'a parlé hélas après 54 ans rien d'anormale, d'un copain décédé  marcel Crévisy (celui là, je vous le garde pour la fin) en suite il m'a donné son adresse internet en précisant bien que ce n'était pas lui qui s'en occupait mais sa femme et nous nous sommes promis de  nous rappeler plus tard.
En suite j'ai retrouvé dans l'ordre michel Sironi qui fut plus réservé il était content de mon coup de fil mais sans plus, pas étonnant à cette époque sa femme devait être bien malade puisqu'elle est décédée début 2008, je comprend qu'il avait d'autres chats à fouetter à ce moment là, je l'ai rappeler un mois avant notre réunion environ, il  partait se changer les idée chez sa soeur dans le midi je crois, je pense qu'il sera dans la prochaine fournée.
roland Gorius ne se souvenait plus de moi, cependant il fut content d'avoir des nouvelles nous avons parlés de nos copains, il m'a donné l'adresse approximative de serge Levillain,  puisqu'il était transporteur et qu'il avait déménagé l'atelier de serge. C'est la femme de serge qui m'a appris son décès, il c'est tué en vélo l'or d'une course amateur, J'ai également appris le décès d'alain Bélay, gérard Caillebot, serge Sieffert, serge Lavige, paul Laligniel quant a ramon Carceller que j'ai également retrouvé aux dernières nouvelles il était à l'hôpital et serait gravement malade.
Je cherchais toujours mon copain jean-claude Legourd sans succès.
En suite j'ai retrouvé pierre Fortuné et là de par sa personnalité que tout les copains connaissent, ce fut la franche rigolade, il m'a dit "il faut qu'on se voit" et le 23 décembre 2007 il partait chez sa fille à La ciotat, il est passé chez moi son gendre l'a accompagné mais comme il n'a pas osé monté (il allait voir un copain pas loin de chez moi soit-disant) nous ne sommes resté qu'environ une heure ensemble, cela  a suffit pour qu'il me nomme coordinateur de l'évènement vu que j'avais internet et m'a chargé de mettre au point notre réunion du 24 et 25 juin 2008 (qui a été changée après pour le 14 et 15) nous n'avons même pas pensé à faire une photo, d'où celle, ci-dessus pour le remercier de ce qu'il a fait pour nous.
jean-claude Legourd je le cherchais département par département. Sur les pages blanches ils mettent, cherchez sans le prénom c'est comme cela que j'ai réussi à trouver son frère daniel qui m'a aussitôt donné le numéro de téléphone de jean-claude, lorsque je l'ai appelé il n'en revenais pas d'autant plus que nous étions bons copains, nous faisions presque tout les jours ensemble le chemin de l'école, il se demandais comment j'avais pu faire pour le retrouver, comme il avait l'adresse de jean-claude Eker je l'ai appelé, il savais également dans quel département se trouvais jean-pierre Bourgeat ça n'a pas été difficile à le le situer, pareil pour claude Levillain qui ne s'était pas beaucoup éloigné de saint Maur, il n'était pas de notre classe mais il était le frère de serge et le copain de jean-claude il a en quelques sortes représenté son frère serge à notre réunion.
Daniel Legourd le frère de jean-claude qui connaissais bien jean Bruneau mon voisin de rue à cette époque puisque nous habitions même pas à 50 mètres l'un de l'autre, m'a donné son numéro de téléphone si bien qu'il fut l'avant dernier à être retrouvé, puisque depuis il y a trois petits nouveaux qui ne figurent pas sur les photos de la réunion, mais que j'ai mis sur le blog à la fin des photos de la réunion, serge Billard, stéphen Bisser, pierre Clergeaud, comme michel Sironi et roland Gorius (je rectifie pour roland Gorius, j'ai eu sa femme au téléphone, elle m'a dit qu'il se foutait de tout celà qu'il était situé vers l'avenir)j'espère qu'il seront dans la bande la prochaine fois.
Je vous ai gardé la recherche la plus gratinée pour la fin, comme j'ai passé la maternelle à l'école d'adamville et que j'avais une photo je me suis dis, pourquoi ne pas la mettre sur copains d'avant pour en faire profiter les autres, je cherche donc dans l'école d'adamville la personne se rapprochant le plus de mon age, je tombe sur une madame Crévisy  qui n'était autre que la belle-soeur de marcel que jean-charles pizzanelli m'avait annoncé comme  "décédé".
Lorsque j'ai appelé marcel Crévisy et que je lui ai annoncé que nous le croyons mort cela ne la pas bouleversé outre mesure, il m'a simplement dit " non tu vois mon vieux jacky je suis bien vivant et en bonne santé"
Par contre vous vous doutez de la joie que ça m'a fais de savoir mon copain vivant.
Voila pour la petite histoire de l'école des muriers, place maintenant aux photos de ces deux merveilleuses journées.
Signé Le président à l'unanimité (les copains comprendrons)

10 juillet 2011

photos de classe

photo_d__coleAprès avoir comparé nos photos, c'est la seule de groupe en notre possession ( je rectifie puisque depuis pierre Clergeau m'en a envoyé une autre)
Vous ne verrez pas sur cette photo Mademoiselle Richard la prof de quatrième  que nous avons tant embêté, Monsieur Loyal prof de troisième avec qui il ne fallait pas rigoler (je rectifie vous pouvez-le voir sur la photo ci-dessous, photo que m'a envoyé Clergeau en pull jacquart, à la droite de loyal serge Billard devant votre serviteur jacky cerf) vous ne verrez pas mademoiselle Ménier qui c'est mariée avec Monsieur cocher le Directeur.
Par contre sur la photo du haut au fond de la classe à gauche vous pouvez apercevoir Monsieur Boudau le prof de première, à coté Monsieur Cocher notre directeur.
Au premier rang le premier à droite Eker jean-claude, à sa droite Crévisy marcel, sur le même rang le deuxième à gauche Gicquel michel, au troisième rang le premier à gauche Vauclare? sur le même rang le quatrième jean-pierre David, premier à droite Gorius roland, si il y a des blogueurs qui se reconnaissent ou qui connaissent quelqu'un par le nom qu'ils laissent un commentaire.
Comme vous devez vous en douter, au bout de 54 ans de séparation certains sont décédés, Caillebot gérard, Bélay alain, Lalignel paul, Levillain serge, Sieffert serge, Lavige serge.
Ceux que nous avons retrouvé mais qui n'étaient pas présent à notre réunion Gorius roland, Sironi michel, Carceler ramon
Ceux dont nous connaissons les noms mais que nous n'avons pas retrouvé,  Angelot?  Ballet jean,  voléry?  Borde michel,
Chérif raymond, David jean-pierre,  De Fonseca jean ou paul,! Deschamps? Eyrol robert, Fournier? Génin claude,
Gicquel michel, Hénon georges, Robert daniel,  Vauclare?  Vogel robert.
Et enfin ceux qui participaient à notre réunion nos formidables  Hôtes Fortuné pierre et son épouse mireille, Fortuné rené et  monique, Levillain claude et jeanine, Bourgeat jean-pierre sa femme n'a pa pu venir, Bruneau jean-charles et annie, Crévisy marcel et nina, Legourd jean-claude sa femme Aurore n'ayant  pas pu  venir non plus, Eker jean-claude et yvette, Cerf jacky et sylviane

10 juillet 2011

Lamarchande de bonbons.

Hélas vous n'aurez pas de photo de la marchande de bonbon cette boutique si chère à nos coeurs à disparue elle a été remplacée par une vulgaire ste assurance ou je ne quoi elle faisait pourtant partie intégrante de l'école tout les jours ou presque nous entrions dans la boutique pour acheter ou pour accompagner un copain qui allait acheter des bonbons.
Elle se situait  à l'angle de la rue en face de la place (à peu-près en bas et à gauche sur la photo précédente) elle était tenue par deux femmes la mère et la fille c'est dans cette boutique que disparaissait l'argent de poche que nous donnait notre mère avant de partir ou celui resquillé sur la monnaie des commissions.
Là, suivant la somme souvent très minime c'était, comme chante Renau, des mistrals, des boites de coco, des réglisses ou tout simplement des bonbons.
Les deux femmes étaient très organisées, pendant que l'une servait, l'autre surveillait nos allées et venues, notre malin plaisir était quelques fois pas systématiquement, de faucher ne serai-ce qu'un bonbon  et savourer le moment ou l'oeil de ce vigile en jupon avait quitté un instant cette bande de délinquant en herbe, ce qui nous permettait de déguster avec triomphe notre larcin.

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